L’essence de notre activité ce
sont le sport, les
relations humaines et le tourisme.
En préambule :
C'est notre inconscient qui
nous guide la plupart du temps.
A vélo, c'est la même chose. Notre inconscient
nous permet de rouler en groupe sans catastrophe. Notre perception visuelle s'effectue à
travers un angle très étroit. Notre regard est très mobile. Notre cerveau traite cette information et nous
fait agir. Notre mémoire est toujours sollicitée et elle nous permet les
comparaisons ou les décisions.
Pour toutes ces raisons, à vélo, nous n’avons pas le temps de
détailler les paysages.
Pourtant, lorsqu'on conçoit un circuit, il faut essayer
de favoriser le tourisme (intérêt).
Nous avons à notre disposition une multitude de
paysages : les vallées, les rivières, les forêts, les plateaux, les champs… et
les villages.
Ce qui est intéressant dans les villages, c’est
leur cœur.
Autour de l’église, il y a toujours les quartiers
anciens. La mairie n’est jamais loin.
Pourquoi, petit à petit, dans nos sorties, le
cœur des villages (et surtout des petites villes) est abandonné au profit d’une
périphérie sans intérêt.
Certains disent qu’il y a trop de monde au
centre ville.
C’est vrai vers 11 h 30. Mais le matin, il n’y a
personne !
D’autres rétorquent que cela ralentit la
sortie.
Entre l’intérêt et la moyenne !
Comme toujours, il ne faut pas être blanc ou noir.
Mais ne jamais passer par le cœur des villages
(petites villes) me parait dommage.
Alors, les cœurs de Mennecy, Nozay, Limours, Vert le
Grand, Milly la Forêt… reverront-ils les cyclistes ?
C’est pas difficile : il faut repérer le clocher !
Daniel Clerc |