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CERTU

 

Les ralentisseurs : état de l’art et effets dynamiques (extrait)

Cas particulier des vélos et des deux-roues motorisés

Les études citées en références bibliographiques ne recensent que des expérimentations faites sur des véhicules légers, tracteurs ou poids lourds. Par conséquent, aucune mesure de vitesse ou d'accélération verticale, en lien avec la géométrie d'un ralentisseur, n'est disponible, que cela concerne les vélos ou bien les deux-roues motorisés.

On dispose de peu d'informations concernant les effets d'un ralentisseur sur ces deux modes de déplacement. À ce jour, il est donc difficile de savoir si les vélos et les deux-roues motorisés sont plus sensibles aux ralentisseurs que les véhicules légers, et par conséquent plus enclins à subir d'éventuels dégâts, comme c'est le cas pour les véhicules lourds.

Aucun élément relatif au seuil d'inconfort pour les vélos et deux-roues motorisés n'est aujourd'hui disponible.

 

Rappel : il y a 2 roues, donc 2 contraintes.

Plus la vitesse est grande...

Plus le vélo est léger (rigidité)...

La conception des ralentisseurs est importante.

 

La montée du ralentisseur :

Les cyclistes sont obligés d'arrêter de pédaler.

Si le ralentisseur est "dur", ils quittent l'appui sur la selle.

En bloquant leurs jambes et en pliant les bras, ils peuvent mieux amortir le choc.

La première contrainte est la plus ressentie car elle touche le guidon.

Avec la roue arrière, le choc se transmet au niveau de la selle.

 

La descente :

La contrainte est quasi-identique.

 

Daniel Clerc

 

Avec les aménagements additionnels, ce sont 4 x 2 contraintes encore plus violentes.

Aménagements & Monde des cyclistes

 

PDF CERTU

2009

 

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