Deux par deux ?
Je me suis posé cette question :
rouler 2 par 2, est-ce faisable ?
Il y a quelque temps, lors de
plusieurs sorties avec notre groupe, je suis parti avec l’idée d’observer quand
c’était possible.
En fait, je vais écrire plutôt
quand c’est difficile :
- dans les descentes
- dans les montées difficiles
- dans les ronds-points
- sur les petites routes sinueuses
ou les pistes cyclables étroites
- quand la route est en mauvais
état / trous
- quand il y a un virage dangereux
Dans les traversées des
villages/villes :
- quand il y a des équipements de
sécurité qui disloquent le groupe
- quand il y a des plaques
- quand il y a des pavés !
- au stop ou au feu
Suivant la météo :
- quand il y a du vent contraire et
qu’on cherche à s’abriter
- quand il pleut car on se décale
pour être moins aspergé
En fonction des moments :
- quand on est en plein effort, on
ne cherche plus à être 2 par 2
- quand on est fatigué, on s’isole
davantage
Alors que nous reste-t-il ?!
- quand la route est assez large et
rectiligne et sans circulation
(dans les grands brevets, cela dure
parfois des nombreux kilomètres)
En fonction des personnalités :
Certains préfèrent naviguer en
queue ou en tête de peloton. Certains préfèrent rouler tout le temps derrière.
Certains préfèrent être devant.
Personnellement, mon attention est
toujours axé « sécurité » et je suis assez rarement par 2.
Il faut de tout pour faire un
monde !
Daniel Clerc |