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Cette fiche cherche donc à expliciter en quoi une
politique de modération des vitesses peut participer à la convivialité des
espaces publics, améliorer le niveau de confort offert aux piétons et aux
cyclistes, et contribuer à rendre les villes plus faciles à vivre.
On ne peut être que d'accord avec tous les
propos qui sont écrits : modérer la vitesse, partage des lieux, mobilité
durable.
Je suis cycliste, je devrais donc être
satisfait de cette politique !
Le problème vient du fait que les responsables
ont décidé d'imposer la modération des vitesses
par de nombreux aménagements contraignants.
Et les cyclistes en sont, également, les
victimes.
Nos déplacements, dans certaines communes,
deviennent insupportables.
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