Députée de 
		la Gironde
		 | 
      
			
			
			Développement 
			des itinéraires cyclables
		
		
		Départements 
		et Régions Cyclables
		 | 
      
		
		 | 
      
		
		
		DRI
		 | 
     
    
      
		
		
		 Maire 
		de Nice
		 | 
      
		
		 | 
      
		
		
		Maire de 
		Grenoble
		 | 
      
		
		 | 
     
    
      | 
		
		 | 
      
		
		 | 
      
		
		
		Maire de 
		Toulouse
		 | 
      
		
		 | 
     
    
      | 
		
		 | 
      
		
		 | 
      
		
		 | 
      
		
		 | 
     
    
      | 
		
		 | 
      
		
		
		Agglo Val 
		d'Orge
		 | 
      
		
		
		Agglo Val 
		d'Orge
		 | 
      
		
		
		Agglo Val 
		d'Orge
		 | 
     
    
      | 
		
		 | 
      
		
		 | 
      
		
		 | 
      
		
		 | 
     
     
	  
  
	  
  
	  
	  
	
   
	
			
			
			
			Elisabeth BORNE 
			
			
			Ministre 
			de la Transition écologique et Solidaire
			
			Juillet 2019
			 | 
		 
		
			| 
			 
			
			Prise en compte - Avril 
			2018  | 
		 
		
  
	
	   
		
			
				
		
		
		
		 Bernard CAZENEUVE
		
		
		PREMIER MINISTRE
				 | 
			 
			
				| 
				 
				
				Bandes de guidage - 2017 
				
				 
			
			   | 
			 
		 
	
	   
    
      	
        
			
			
			 Députée 
			de la Gironde
		 | 
       
      	
        | 
			   
			
			Monsieur Clerc, 
			
			Sophie Panonacle, Députée de la 
			Gironde, vous remercie pour votre courriel par lequel vous attiriez 
			son attention sur la décision du Gouvernement d’abaisser la vitesse 
			maximale autorisée à 80 km/h.  
			
			Cette mesure a vocation à s’appliquer 
			de manière expérimentale pour une durée de deux ans à partir du 1er 
			juillet prochain, et uniquement sur les routes à double sens ne 
			disposant pas de séparateur central. Les premières expérimentations 
			conduites préalablement à l’annonce de ce dispositif ont montré que 
			l’abaissement de la vitesse à 80 km/h sur ces routes permettait 
			effectivement de sauver des vies. C’est bien ici l’objectif 
			poursuivi par le Gouvernement, alors que le nombre de victimes 
			d’accidents de la route est à nouveau en hausse depuis 3 ans. 
			 
			
			En effet, près de 3 500 personnes 
			décèdent sur les routes chaque année, auxquelles s’ajoutent 70 000 
			blessé-e-s dont 25 000 graves. Alors que 92% des accidents graves 
			résultent de comportements humains au volant, le Gouvernement a 
			souhaité agir de manière ciblée et en toute transparence, dans la 
			mesure où les résultats de l’expérimentation seront rendus publics. 
			Comme annoncé par le Président de la République, le dispositif ne 
			sera pas poursuivi si l’expérimentation s’avère non concluante.
			 
			
			Si la vitesse n’est pas nécessairement 
			une cause d’accident, elle est toutefois systématiquement un facteur 
			aggravant. En diminuant la distance nécessaire au freinage induite 
			par l’abaissement de la vitesse, l’objectif est ainsi de mieux 
			protéger les usagers de la route circulant sur des axes identifiés 
			comme accidentogènes. L’impact sur la durée des trajets n’en sera 
			que minime, dans la mesure où celle-ci n’augmentera en effet que de 
			trois minutes pour un trajet de 40 kilomètres.  
			
			Soyez assuré de la vigilance de Madame 
			la Députée quant au suivi de la mise en œuvre de cette 
			expérimentation, et en particulier de ses incidences sur le bassin 
			d’Arcachon. 
			  
			
			Cordialement, 
			
			Vivien DELOGE 
			
			Collaborateur de Sophie Panonacle 
			
			Députée de la Gironde 
			  
			
			   | 
       
      	
        | 
			 
			Votre message est une 
			argumentation tout à fait valable. 
			
			Ma question : quels 
			moyens du XXI° siècle pour l’efficacité ? 
			
			Les panneaux ? 
			
			Les radars ? 
			
			La bonne volonté, la 
			persuasion, l’information, la répression… ? 
			
			  
			
			Vous sentez bien qu’il 
			faut intégrer les limitations automatiques de vitesse dans les 
			véhicules ! 
			
			Et rendre ces 
			limitations  intelligentes ! 
			
			Sans généralisation mais 
			adapté à la réalité du danger (participation collective ?). 
			
			L’idée fait son chemin ! 
			
			Daniel Clerc    | 
       
      	 
    
	   
	
			
			
			Théo 
			VINTAER
			
			Chargé de développement des 
			itinéraires cyclables
			
			
			Départements et Régions Cyclables
			 | 
		 
		
			
			  | 
		 
		
  
	
	   
    
      	
        
			
			
			Conseil Départemental du Val d'Oise 
			
			
			Direction des 
			Routes
			 | 
       
      	
        | 
			   
			
			
			Conseil Départemental du Val d'Oise 
			
			
			Direction des Routes   
			
			
			Bonjour, 
			
			
			Je fais suite à votre mail en date du 30-04-2018. 
			
			
			Nous avons bien reçu vos observations et vos suggestions relatives à 
			la sécurité routière. 
			
			
			Nous vous remercions de l'intérêt que vous portez à nos routes 
			départementales. 
			   | 
       
      	 
	
	   
    
	
	   
  
	
   
  
    
      | 
  
			
		 | 
     
    
      | 
		 
  
			  
		
  
Une contrainte au bon endroit n'a jamais gêné personne. 
		
  
C'est la généralisation qui rend les déplacements stressants. 
		
  
  
		 | 
     
   
	
				
		   
  
    
      
		
		Eric PIOLLE
		
		Maire de Grenoble
		 | 
     
    
      | 
	 
	  
		
				Seltana TATAH 
				Ville de Grenoble - Cabinet du Maire - 11 bd Jean Pain   | 
     
   
	
				
		   
  
    
      
		
		Mairie de Toulon
		 | 
     
    
      
		
		  | 
     
   
	
			
		   
  
    
      | 
		
		 | 
     
    
      
		
		 
		L'avenir doit 
		être envisagé dans les 
		décisions actuelles. 
		
		En France, les solutions contraignantes 
		pénalisent tous les usagers. 
		
		Les responsables doivent donc prendre en 
		compte dès maintenant les futurs dispositifs dans les voitures qui 
		seront vraiment efficaces. 
		
		Ils ne doivent pas continuer dans 
		l'erreur. 
		 | 
     
   
	
				
		   
  
    
      
		
		
		Mairie de Blois
		 | 
     
    
      | 
		 
		Monsieur, 
		
		Vous avez sollicité le Maire de Blois via le site internet de la ville, 
		au sujet des réflexions que vous avez engagées sur la thématique de la 
		sécurité routière, lesquelles ont été rassemblées dans le document 
		"Reportages" dont vous avez bien voulu nous fournir le lien d'accès. 
		
		Je tiens à vous remercier de cette initiative, et vous informe que 
		celles-ci seront étudiées dans le cadre des diverses actions que la 
		Ville de Blois est amenée à engager et suivre au quotidien sur cette 
		même thématique. 
		
		Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de ma considération 
		distinguée. 
		
		
		Dominique PENIN 
		
		
		Responsable du Pôle Relation à l'Usager - Dpt INFRASTRUCTURES 
		
		
		Communauté d'Agglomération de Blois - AGGLOPOLYS / Ville de Blois 
		
		1, rue 
		Honoré de Balzac - CS 4318 - 41043 BLOIS Cedex 
		
		tél : 
		02/54/90/30/88 - fax : 02/54/90/30/99 
		   | 
     
   
	
				
		   
  
    
      
		
		
		Jean Luc MOUDENC
		
		
		Maire de 
		Toulouse 
		 | 
     
    
      | 
		 
		
		
		   | 
     
   
	
   
  
    
      
		
		
		Mairie de Villeurbanne
		 | 
     
    
      | 
		 
		
		Bonjour,  
		
		
		Les pistes d’évolution que vous abordez me semblent relever davantage du 
		domaine de la loi et du règlement que de la compétence de monsieur le 
		maire.  
		
		
		En effet, ces dispositifs généraux doivent être prévus et imposés par 
		une législation spécifique, que les maires n’ont pas la possibilité de 
		modifier ou d’initier.  
		
		
		Vous avez donc judicieusement saisi la présidence de la République de 
		vos propositions.  
		
		
		De mon côté, j’en informe madame Pascale Crozon, députée de la sixième 
		circonscription du Rhône. Sa qualité de parlementaire peut lui permettre 
		de relayer avec plus d’efficacité vos suggestions au gouvernement.
		 
		
		
		Avec mes salutations les meilleures,  
		
		
		La direction relations habitants / services et événementiel - Cabinet du 
		maire  
		 | 
     
   
	
   
	
		
      
        | 
          
		 | 
       
      
        | 
           29-11-2019 
			Bonjour Monsieur,  
			Notre action vise à sécuriser la 
			circulation des piétons et des bicyclettes face aux véhicules. Nos 
			aménagements sont réalisés dans cet esprit.  
			Cordialement.  
			François Cholley - Maire de 
			Villemoisson sur Orge - 91 
			   | 
       
      
        | 
           La fin de la voiture reine est une bonne 
			chose ! 
			Mais la priorité donnée aux piétons et 
			aux cyclistes doit elle justifier la généralisation des contraintes 
			archaïques ? 
			- Les piétons sont en sécurité sur les 
			trottoirs. L'instant sur la chaussée n'est même pas vraiment 
			protégé. 
			- Les cyclistes subissent les même 
			contraintes que les autres usagers ! 
			C'est pour cela qu'il est "urgent" que 
			les limitations intelligentes et les dispositifs d'arrêts 
			automatiques soient intégrés dans les véhicules ! 
			  
			Rappel : dans les véhicules, il y a des 
			personnes... 
			
			Daniel CLERC   | 
       
       
	
    
   
  
    
      | 
  
			
		 | 
     
    
      | 
	 
	
	  
	Comme vous le dites si bien : 
	« Au-delà du nombre qui peut (vous) paraître excessif » 
	
	Il y a 
	 
	23 ralentisseurs sur la 
	route « chemin de la croix rouge » sur une distance de 1,6 km. 
	
	Vous aviez voulu une voie pour 
	les cyclistes. Je suis un cycliste et j’évite votre solution… 
	
	Si on se souciait des 
	automobilistes qui empruntent ce tronçon, tous les jours, pour aller au 
	travail ? 
	
	Juste sur cette route d’un 
	kilomètre six cents, à sens unique, cela fait 23 x 330 = 
	7590 ralentisseurs à passer par an. 
	
	Rue André Chermette, il y avait 
	4 ralentisseurs. Vous venez d'en rajouter 3. 7 ralentisseurs sur 600 m... 
	
	Les solutions, contre les 
	autres, à Longpont sur Orge 
	sont extrêmes. 
	
	Une sécurité illusoire et une non prise en compte de l'ensemble des 
	utilisateurs. 
	
Daniel Clerc 
		 | 
     
   
	
   
  
    
      
		
		
		Saint Maurice Montcouronne
		 | 
     
    
      | 
		 
		Bonjour Monsieur Clerc  
		Il n'y 
		a pas de bandes rugueuses sur la commune de Saint Maurice Montcouronne. 
		Nous 
		privilégions les dos d'âne et les chicanes pour assurer la sécurité des 
		habitants.  
		
		Cordialement  
		M. 
		Blanchard - Adjoint au Maire   | 
     
    
      | 
		 
Assurer la 
sécurité des habitants ? 
		
		
		Ce message révèle que les 
		responsables pensent bien faire... 
		
		Rappel :
		Le concept "danger potentiel" est 
			inutile, injuste et nuisible. 
			Les aménagements contraignants sont très souvent
	contraires à 
	la sécurité. 
		
		Les aménagements contraignants assurent-ils la 
		sécurité des habitants ? 
		
		Non ! 
		
		Les ralentisseurs et les chicanes ne 
		servent qu'à imposer une limitation de vitesse. 
		
		Dans les rues désertes des villages de 
		l'Essonne, il n'y a pas de danger ! 
		
		Les piétons sont en sécurité sur les 
		trottoirs ! 
		
		Les très rares piétons engagés sur la 
		chaussée ne sont pas protégés par les aménagements.  
		
		Par contre, tous les usagers innocents 
		souffrent de cette généralisation. 
		
		Nous passons très très souvent à St Maurice 
		Montcouronne à vélo.  
		
		A Courson-Monteloup, la commune juste à 
		côté, il n'y a pas que les ralentisseurs. 
		
		Il y a des bandes rugueuses et également des véritables "murets" qui sont plus anciens et qui nous 
		obligent à "sauter" dessus.  
		
		Les cyclistes plus âgés ou moins agiles 
		heurtent leurs roues dessus.  
		
		Et pour nous c'est un enfer, à chaque fois, 
		à l'aller et au retour.  
			
		  
		
		Daniel Clerc  
			
			
			Solutions 
			pour l'avenir et propositions  
		 | 
     
   
	
   
  
    
      | 
      
		 | 
     
	
      | 
		 
      (Téléphone) 
		
      Les habitants de Brétigny 
		sont très nombreux à réclamer des ralentisseurs. 
		
      Les responsables pensent à en 
		mettre encore davantage, surtout près des écoles. 
			
        
		
      Réponse :  
		
      Les responsables/décideurs doivent 
		avoir le recul de la réflexion face aux demandes pas toujours 
		raisonnées. 
		
      (Société en crise/angoissée) 
		 | 
     
   
	
				
		   
  
    
      
		
		
		Saint-Germain lès-Arpajon
		 | 
     
    
      | 
	 
	  
	Il y a la volonté des responsables de bien faire... 
	mais la plupart ne font pas de vélo ! 
	Une seule contrainte n'a 
	que peu d'importance. Comme vous l'écrivez, 
	elle n'est pas particulièrement insurmontable. 
	Mais dans ce 
	cas précis, tous les cyclistes sont obligés de descendre de vélo, 
	d'actionner la barrière oscillante ou de passer sur les côtés... 
	...après être passé sur un pont qui est devenu invivable 
	sur toute sa longueur à cause de ces contraintes inutiles. 
	Pour les 
	poussettes, cela doit être la même pénibilité. 
	A part 
	l'esthétisme, pensez-vous qu'il y a un réel progrès dans ce nouvel 
	aménagement ? 
			
			
			Je vous invite à lire ces 3 pages :
			Barrières 
			contraignantes    
			
			
			Supprimer les barrières ?     Véhicules 
			motorisés ? 
			   | 
     
   
	
				
   
  
    
      
      
      
		
		
		Président de 
		l'Agglomération du Val d'Orge 
		
		Sénateur de l'Essonne 2017
		 | 
     
	
      | 
		 
		
		  
		  
		M. Leonhardt écrit : … est la cause 
		d’un grand nombre d’accidents sur la zone urbaine. 
		
		Question : Avez-vous des 
		chiffres précis sur ce nombre ? 
		
		La réponse : 
		
		Cette phrase vise les accidents en zone 
		urbaine d’une manière générale et fait état du rôle de la vitesse 
		excessive dans ce cadre.  
		
			
			
			                               
		
		L'augmentation 
		du flux de circulation                           à Sainte Geneviève des Bois  | 
     
   
	
   
  
    
      
  
			
			
			Olivier LEONHARDT - 2013
			
			Communauté d'agglomération du Val 
			d'Orge (91) 
		 | 
     
    
      | 
		 
			
			  
			
			Les mots employés "apaisement du flux automobile, circulations douces, itinéraires sûrs, confortables et conviviaux" 
			: 
			
			-> Il y a un décalage 
			entre les mots/intentions et les conséquences d'une partie de vos 
			réalisations :  
		
			les usagers ont, de plus en plus, l'impression de faire un parcours du combattant ! 
			
			Vous écrivez que vous 
			devez essayer, au risque d'avoir à rechercher d'autres solutions : 
			
			-> Les ralentisseurs, ce 
			n'est pas nouveau ! Les aménagements mal pensés restent dans le temps et dans 
			l'espace. 
			
			La relation entre "le 
			syndrome du nid" (1) et la 
			solution des aménagements : 
			
			-> Les plateaux 
			surélevés, les ralentisseurs et les coussins ne sont en aucun cas 
			des anti-accidents. Ce sont des gênes, pas des aides à la vigilance.  
		
			Une gêne, quand elle est répétée 
			devient stress. Ce qui est grave, c'est que des 
			cyclistes chutent parfois à cause d'eux. 
	
Daniel Clerc 
			
			  
			(1) Sécurité routière : 
			Le risque d’accident est 
			plus élevé à proximité de chez soi. 
			 
			75% des victimes de la 
			route sont des victimes locales, piétons ou occupants d’un véhicule 
			immatriculé dans le département. On constate aussi chaque jour un 
			pic de mortalité routière vers 18h à l’heure des trajets 
			domicile/travail. C’est donc sur les routes que l’on emprunte 
			quotidiennement que le risque routier est le plus élevé, l’habitude 
			entraînant une baisse de vigilance.  | 
     
   
	
   
  
    
      
  
			
			
			Olivier LEONHARDT - 
			2013
			
			
			Communauté d'agglomération du Val 
			d'Orge (91) 
		 | 
     
    
      | 
		 
		
		  
		
		Le cas unique, l'accident, 
		ne doit pas conduire au stress pour tous les usagers. 
		Ce n'est pas sous la 
		pression de certaines individualités, même si on les comprend, que les 
		responsables doivent prendre les décisions. 
		 
		C'est l'intérêt général qui 
		doit prédominer. 
		A cause de cas isolés, les 
		chauffards, c'est la punition générale : 4 plateaux qui vont rendre les 
		déplacements 
		 
		encore plus fatiguant pour tout le monde et tout le temps. 
		Ces 4 plateaux sont d'une 
		efficacité très limitée : ralentissement sur quelques mètres et piéton 
		sur la chaussée pas vraiment protégé. 
		   | 
     
   
	
   
	
		
			| 
			
			 | 
		 
		
			| 
			 
			30/04/2018 
			
			
			J’accuse bonne réception de votre courriel du 23 mars dernier 
			relatif à la circulation  rue Pierre Sémard. 
			
			
			Vous semblez trouver un accroissement des contraintes suite aux 
			nouveaux aménagements et vous nous demandez comment on a pu arriver 
			à un tel projet. 
			
			
			Ce projet est en effet issu d’une très large concertation avec les 
			deux établissements scolaires, les parents d’élèves élus, les 
			techniciens voirie Ville et Agglomérations et bien sûr les 
			riverains. 
			
			
			Des groupes de travail ont été constitués d’élèves pour pouvoir 
			répondre à 3 objectifs : créer un stationnement pour les bus, un 
			dépose minute pour les parents d’élèves et casser la vitesse aux 
			abords de l’école. Il en est ressorti un projet qui a été présenté 
			aux riverains et validé  en réunion publique . 
			
			
			Il était en important de sécuriser cette zone qui chaque jour est 
			fréquenté par 1100 élèves école et collège. 
			
			  
			
			Responsable administrative des services techniques - Ville de Sainte-Geneviève-des-Bois 
			 | 
		 
		
			| 
			 
			Ma 
			question : 
			
			Des accidents récents ont-ils eu lieu devant l’école ou le 
			collège rue Pierre Sémard ? 
			
			Je pense que s’il y avait eu des accidents, le responsable m'aurait répondu tout de suite… 
			
			Tout ce que je peux dire c’est d'informer 
			de ma réflexion (en précisant que les soutiens, les prises en 
			compte, les remerciements, c’est toujours pour quelque chose) 
			1) Remettre 
			en cause le concept erroné du danger potentiel 
			2) Tenir 
			compte des conséquences sur tous les usagers de vos aménagements
			 
			
			A SGDB, grâce à son ancien maire, les usagers avaient 
			été préservés ! 
			
			Je reviens de Breuillet, et là on assiste à une 
			prolifération des ralentisseurs… 
			  
			
			Daniel Clerc - 21-05-2018  | 
		 
		 
	
	   
  
    
      
  
Des barrières contre les scooters
		 | 
     
    
      | 
		 
		Olivier THOMAS 
		
		Maire de Marcoussis 
		
		  
		
		Bonjour Monsieur 
		
		  
		
		J'ai bien reçu votre message concernant les barrières sur nos liaisons 
		douces mais également aux entrées de Parc. 
		
		Vous me proposez de me mettre à la place des utilisateurs de vélo, cela 
		tombe bien, puisque je suis moi-même utilisateur de vélo sur ma commune. 
		
		Ces barrières n'étaient pas là à l'origine de ces liaisons douces ni aux 
		entrées des parcs. Elles ont été installées à la demande des riverains, 
		mais aussi des cyclistes afin d'éviter les scooters sur ces voies qui ne 
		leur sont pas réservées. 
		
		Dans un monde idéal, on n'aurait évidemment pas besoin de ces barrières, 
		mais hélas les utilisateurs de scooter ne respectent pas les 
		interdictions qui leur sont faites d'utiliser ces voies et d'entrer dans 
		les parcs. 
		
		Si d'aventure vous connaissez un moyen technique qui permettrait de 
		laisser passer les vélos plus simplement et de faire obstacle aux 
		scooters, nous en serions preneurs. 
		
		Marcoussis développe beaucoup les liaisons douces, nous en construisons 
		régulièrement et nous avons un schéma en squelette de poisson le long de 
		notre vallée dont l'arrête centrale est la voie le long de notre 
		rivière. Régulièrement nous créons des perpendiculaires à cette voie 
		afin d'irriguer tous les quartiers et il n'est pas de nouveau quartier 
		sans que nous pensions à ce sujet ainsi qu'aux parcs à vélos. 
		
		Par ailleurs nos équipements publics sont et seront équipés de parcs à 
		vélo. 
		
		Enfin nous allons créer avec l'agglomération une voie dédiée vélo 
		importante reliant un quartier excentré à notre centre village. 
		
		  
		
		Merci de votre intérêt pour cette question, que je partage. 
		
		_____________________________________________ 
		  
		
		L’idée qui prédomine chez les responsables, c’est de rendre accessible 
		les lieux privilégiés que sont les bords de l’eau au plus grand nombre 
		de promeneurs et de cyclistes. 
		
		C’est ce qu’on constate dans les vallées de la Seine, de l’Orge et de 
		l’Yvette (qui sont gérées par des syndicats). 
		
		En multipliant les parcours et en les aménageant. Les parkings 
		également. 
		
		A part aux endroits très dangereux (escaliers par exemple), les 
		contraintes sont supprimées. 
		
		Sur les barrières qui empêchent l’accès aux voitures, il y a un panneau 
		collé qui indique l’interdiction aux véhicules motorisés.  
		
		(La notion de 
		motorisation doit évoluer avec l’arrivée des moteurs électriques...). 
		
		Sur les pistes, il y a parfois un scooter qui passe un instant de 
		seconde… 
		
		Dans certains parcs, il y en a également à certaines heures… 
		
		C’est vraiment si grave ? 
		  
		
		Daniel Clerc  
		
		PS 
		
		Dans la vallée de la Salmouille, l'affluence est encore faible. 
		
		A Marcoussis, vous avez un château médiéval : il est caché par un mur et 
		il est interdit d'aller le voir ! 
		
		  
		 | 
     
   
	
   
      
        
			
			
			Seine Rive Droite Melun - 
			Le Mée : des ralentisseurs très durs à revoir.
			 | 
       
      
        | 
			 
			Franck Vernin  
			
			Maire
			Le Mée 
			  
			
			Cher Monsieur 
			Clerc . 
			
			Suite à votre 
			courriel concernant les ralentisseurs chemin des Praillons, vous me 
			voyez très surpris de votre remarque. En effet les cyclistes 
			demandent régulièrement des ralentisseurs pour apaiser la 
			circulation automobile. 
			  
			
			28-11-2018 
			
			Une liaison douce est en cours de création le long du fleuve 
			(Agglomération Melun Val de Seine).  
			
			Elle permettra de se rendre, à pied ou à vélo, jusqu’au barrage de 
			Vives Eaux. 
			
			____________________________ 
			
			  
			
			Votre réponse : les 
			cyclistes demandent régulièrement des ralentisseurs pour apaiser la 
			circulation automobile. 
			
			-> Dans la réalité, 
			c’est la présence des cyclistes qui fait ralentir les voitures sur 
			ces petites routes. 
			
			Ce ne sont pas les 
			cyclistes qui réclament des aménagements contraignants ! Ils veulent 
			de la liberté ! 
			
			En absence de 
			véhicule, les ralentisseurs qui ne protègent personne, sont donc 
			totalement inutiles ! 
			
			Mais leur nocivité 
			est permanente. 
			
			Les bords de l’eau 
			sont des lieux privilégiés pour les humains. Les sportifs les 
			apprécient. 
			
			Chemin des Praillons, 
			il y a 4 véritables barres !!! 
			
			A chaque passage, les 
			cyclistes cognent leurs deux roues dessus et leur corps subi des 
			chocs à répétition qui gâche, d’une façon injuste, leur activité…
			 
			
			La généralisation des 
			aménagements archaïques a pour conséquence un stress permanent pour 
			les cyclistes… et tous les usagers innocents… 
			
			Daniel Clerc 
			
			  
			 | 
       
     
    
   
  
    
      | 
  
			
		 | 
     
    
      
  
			
				  
				
					
						| 
  
						 
						Réf. : 2013-856 
						 
						Monsieur,  
						 
						Vous avez bien voulu appeler notre attention sur les 
						conditions de mise en place sur les chaussées des 
						dispositifs favorisant la réduction de vitesse des 
						usagers. 
Ce type d’aménagement est parfois réalisé pour rendre 
effective la limitation de vitesse prescrite par l’autorité chargée de la police 
de la circulation sur la voie concernée. 
Le Département ne réalise sur ses routes départementales, ni 
ralentisseurs, ni coussins berlinois, ni plateau surélevé en dehors des 
agglomérations où ils sont proscrits. 
En agglomération, le Département ne réalise ce type 
d’aménagement qu’avec parcimonie lorsqu’il existe un vrai problème d’insécurité 
routière. Dans la plupart des cas, il s’agit d’aménagements réalisés à 
l’initiative des communes détentrices du pouvoir de police de la circulation. 
Ces types d’aménagements permettent de sécuriser des 
carrefours, mettre en place des zones 30, sécuriser des abords de lieux publics, 
notamment ceux fréquentés par des enfants, et de manière générale de pacifier la 
voirie.  
 
Enfin, s’ils sont mis en place et réalisés conformément à la 
réglementation et aux recommandations en vigueur, notamment si la visibilité sur 
l’aménagement est assurée, l’expérience montre qu’ils ne sont pas dangereux pour 
les usagers. 
Je vous prie de croire, Monsieur, à l’expression de ma 
meilleure considération. 
  
Sébastien LE GAL  
Chef du pôle sécurité routière et mobilités douces 
BESR/SGER/DRT 
Conseil général des Yvelines  | 
					 
				 
			 
  
	
		 | 
     
   
	
   
  
    
      
		
		
		Direction de l'ingénierie et des 
		infrastructures - 2015
		
		
		Département du Loiret - 45945 Orléans
		 | 
     
	
      | 
		 
		Monsieur,  
		
		Par courriel du 28 septembre dernier, vous 
		m'avez fait parvenir un état très détaillé de vos expériences de 
		déplacements et de vos réflexions sur les aménagements routiers en 
		milieu urbain. 
		
		Je vous informe que dans le département du 
		Loiret, les aménagements à l'intérieur des agglomérations sont réalisés 
		à l'initiative des maires des communes ou des présidents de communauté 
		de communes qui en décident la construction. 
		
		Cependant, pour les équipements mis en 
		œuvre par ces collectivités sur le réseau routier départemental, le 
		Département veille toujours à ce que ceux-ci soient réalisés dans le 
		strict respect de la législation en vigueur.  
		
		Par exemple dans le cas des aménagements 
		qui vous préoccupent, les rampants sont contrôlés et les implantations 
		proposées en sortie de virage ou en descente trop prononcée font l'objet 
		de préconisations pour une implantation vers un autre emplacement plus 
		sécurisé. De même, l'usage des contre stop sur les routes 
		départementales est régulièrement déconseillé. 
		
		Soyez assuré que le Département reste 
		vigilant pour que les aménagements réalisés sur les routes 
		départementales garantissent à tous de meilleures conditions de 
		circulation en sécurité. 
		
		Je vous prie d'agréer, Monsieur, 
		l'expression de ma considération distinguée. 
		  
		
		Pascal LENOIR 
		
		Directeur de l'ingénierie et des 
		infrastructures      
		
		Département du Loiret - 45945 Orléans 
		
		02 38 25 45 45 -
		
		www.loiret.fr     
		  | 
     
   
	
				
		   
  
    
      | 
		
		    | 
     
    
      | 
		 
		Monsieur Clerc,
		 
		 
		Votre 
		message est passé entre les mains de plusieurs personnes avant de me 
		parvenir. Chacun d'entre nous se demandait comment mettre en valeur ce 
		site très original, multi-thématique, et très intéressant, que vous avez 
		conçu. Après réflexion, il nous semble que le meilleur endroit pour 
		faire connaître cette initiative, ce serait MAIF Social Club, ce site 
		qui fédère la communauté des sociétaires MAIF et leur permet d'échanger 
		entre eux. Et pas seulement des petites annonces de vente d'objets ou de 
		proposition de locations !  
		 
		En qualité 
		de sociétaire, vous avez accès à cette communauté et vous pouvez ainsi 
		mettre en valeur chacune des thématiques que vous développez avec 
		passion et conviction. Vous verrez que cette plate-forme est le meilleur 
		endroit pour partager des initiatives entre sociétaires !
		 
		 
		Avec nos 
		sentiments les plus mutualistes,  
		 
		Eric 
		Berbudeau  
		
			
				| 
				 
				 
				   | 
				
				 
				 
				Eric Berbudeau  
				MAIF MAGAZINE  
				Actions sociétales & 
				communication institutionnelle  
				Tél. : 05.49.73.88.98.  | 
			 
		 
		 | 
     
   
	
   
  
    
      | 
  
			
		 | 
     
	
      
  
			
				
					
						| 
  
						 
						Ref : NAD 000 D 2013 F 2363  
  
						  
						
						
						Monsieur,
  
						
						C’est avec intérêt que nous avons pris 
						connaissance de votre courrier, dans lequel vous nous 
						faites part de vos réflexions concernant l’utilité des 
						ralentisseurs. 
						
						L’Automobile Club Association ne peut que 
						souligner l’importance du respect des normes techniques 
						relatives à ces installations ( hauteur, angle 
						d’attaque,…), ceci pour des raisons tenant tant à la 
						sécurité des usagers qu’à l’impact potentiel sur les 
						véhicules. Hors de cette problématique, l’utilisation de 
						ralentisseurs semble une mesure efficace permettant de 
						sécuriser certains lieux en obligeant les véhicules à ne 
						pas laisser leur vitesse augmenter, notamment lors de 
						longues lignes droites, ou à ralentir aux abords de 
						passages à risques (par exemple à hauteur d’école). La 
						protection des piétons découle de l’obligation faite aux 
						automobilistes de réduire leur vitesse. 
						
						Si l’Automobile Club s’engage notamment 
						afin de responsabiliser les automobilistes, par 
						l’organisation de formations, de stages, et plus 
						généralement par l’importance que nous accordons à la 
						prévention, l’expérience démontre que la sécurité 
						routière ne peut malheureusement reposer sur ces seules 
						notions. 
						
						Nous vous remercions de votre confiance, 
						et restons bien sûr à votre disposition, afin de relayer 
						toute question, ou observation, concernant les 
						dispositions légales ou règlementaires régissant le 
						domaine de l’automobile, et de la mobilité en général.
  
						
						Recevez, Monsieur, nos salutations 
						distinguées.
  
						
						 André FLAMMANG AUTOMOBILE CLUB ASSOCIATION 
						Service Juridique  | 
					 
				 
  
				 
  
	
  
	
		 | 
     
   
	
				
		   
  
	
      | 
      
		 | 
     
	
      | 
		 
        
		
      
		
		
		  
		
      Anecdote non vérifiée, mais 
		très révélatrice... 
		 | 
     
   
	
	
		   
  
    
      
		
		FUB - Fédération 
		française des Usagers de la Bicyclette
		 | 
     
    
      | 
		 
		
		Bonjour, 
		 
		Je vous remercie pour le partage de vos réflexions dont nous ne manquons 
		pas de prendre bonne note. 
		 
		Bien cordialement, 
  
		
		
		Perrine BURNER 
		Chargée de communication 
		Tél : 03 88 76 70 86 
		
		   | 
     
   
	
   
  
    
      | 
      
		 | 
     
    
      | 
		 
		Bonjour Monsieur Clerc, 
		
		  
		
		J'ai pris connaissance de votre message concernant 
		l'aménagement du parking de Décathlon de Brétigny sur Orge, qui a été 
		réalisé ces derniers mois. 
		
		Nous avons pris grand soin de réaliser un parking 
		qui respecte les normes actuelles et plus particulièrement pour les 
		personnes à mobilité réduite. 
		
		Ainsi les ralentisseurs "15" ont été placés de part 
		et d'autre du passage piéton afin de protéger ceux-ci. 
		
		Votre remarque est pertinente et nous devons la 
		prendre en compte sur nos aménagements actuels et futurs, afin 
		d'améliorer le confort de tous les usagers qui viennent dans nos 
		magasins. 
		
		Responsable Construction 
		Régional  
Ma question : sur les parkings, 
les clients vont-ils foncer sur les piétons ? 
		 | 
     
   
	
   
  
    
      
		
		
		Cour des comptes
		 | 
     
    
      | 
		  
		Bonjour, Nous vous remercions de la confiance que 
		vous placez dans les juridictions financières.  
		
		Nous avons pris bonne note de vos remarques que nous 
		n’avons pas manqué de transmettre aux magistrats concernés.  
		
		Cordialement,  
		
		
		 Cour 
		des comptes  
		
		Direction de la communication  
		
		13, rue Cambon - 75001 Paris  
		
		www.ccomptes.fr
		 
		
		Tweet @Courdescomptes 
		 
		 | 
     
   
	
		
		   
	
		
			
			
			
			PARIS-SACLAY
			 | 
		 
		
			| 
			 
			Bonjour, 
			
			Je vous remercie de l’intérêt que vous 
			portez aux aménagements cyclables de notre territoire. 
			
			Les services de la Communauté Paris-Saclay 
			mettent tout en œuvre pour développer le maillage des aménagements 
			cyclables, que ceux-ci soient cohérents, et que l’espace public soit 
			partagé entre tous les utilisateurs, et ils sont nombreux. 
			
			Nous avons bien pris note de votre 
			signalement, et échangeons actuellement avec les services de la 
			commune, mais vous pouvez comprendre que les interventions de cette 
			importance ne peuvent être lancées sans un minimum de réflexion et 
			être réalisées en quelques semaines. 
			
			Pour votre information, nous échangeons 
			également régulièrement avec les associations cyclables du secteur, 
			ce qui nous permet d’avoir la vision des usagers (que nous sommes 
			aussi). 
			
			Pour plus d’efficacité, je vous invite 
			donc à vous rapprocher d’eux afin de leur faire profiter de vos 
			réflexions. 
			
			 Bien cordialement, 
			  
			
			
			Rémi TARDY
			
			
			Directeur de l’Espace Public 
			
			Direction Générale Aménagement des Territoires et Cadre de Vie
			
			
			
			paris-saclay 
			   | 
		 
		 
	
	
		
		   
  
    
      | 
			 
			Si on ne prend en compte que le facteur 
			« limitation de la vitesse »,  
			
			la logique de mettre des ralentisseurs 
			partout devient obligatoire. 
			
			Les responsables peuvent écrire 
			« sécurité » mais pour les usagers, c’est le stress au quotidien. 
			
			C'est très grave. 
			
			
			   
			 | 
     
   
	 
   
 |