Députée de
la Gironde
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Développement
des itinéraires cyclables
Départements
et Régions Cyclables
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DRI
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Maire
de Nice
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Maire de
Grenoble
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Maire de
Toulouse
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Agglo Val
d'Orge
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Agglo Val
d'Orge
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Agglo Val
d'Orge
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Elisabeth BORNE
Ministre
de la Transition écologique et Solidaire
Juillet 2019
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Prise en compte - Avril
2018 |
Bernard CAZENEUVE
PREMIER MINISTRE
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Bandes de guidage - 2017
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Députée
de la Gironde
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Monsieur Clerc,
Sophie Panonacle, Députée de la
Gironde, vous remercie pour votre courriel par lequel vous attiriez
son attention sur la décision du Gouvernement d’abaisser la vitesse
maximale autorisée à 80 km/h.
Cette mesure a vocation à s’appliquer
de manière expérimentale pour une durée de deux ans à partir du 1er
juillet prochain, et uniquement sur les routes à double sens ne
disposant pas de séparateur central. Les premières expérimentations
conduites préalablement à l’annonce de ce dispositif ont montré que
l’abaissement de la vitesse à 80 km/h sur ces routes permettait
effectivement de sauver des vies. C’est bien ici l’objectif
poursuivi par le Gouvernement, alors que le nombre de victimes
d’accidents de la route est à nouveau en hausse depuis 3 ans.
En effet, près de 3 500 personnes
décèdent sur les routes chaque année, auxquelles s’ajoutent 70 000
blessé-e-s dont 25 000 graves. Alors que 92% des accidents graves
résultent de comportements humains au volant, le Gouvernement a
souhaité agir de manière ciblée et en toute transparence, dans la
mesure où les résultats de l’expérimentation seront rendus publics.
Comme annoncé par le Président de la République, le dispositif ne
sera pas poursuivi si l’expérimentation s’avère non concluante.
Si la vitesse n’est pas nécessairement
une cause d’accident, elle est toutefois systématiquement un facteur
aggravant. En diminuant la distance nécessaire au freinage induite
par l’abaissement de la vitesse, l’objectif est ainsi de mieux
protéger les usagers de la route circulant sur des axes identifiés
comme accidentogènes. L’impact sur la durée des trajets n’en sera
que minime, dans la mesure où celle-ci n’augmentera en effet que de
trois minutes pour un trajet de 40 kilomètres.
Soyez assuré de la vigilance de Madame
la Députée quant au suivi de la mise en œuvre de cette
expérimentation, et en particulier de ses incidences sur le bassin
d’Arcachon.
Cordialement,
Vivien DELOGE
Collaborateur de Sophie Panonacle
Députée de la Gironde
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Votre message est une
argumentation tout à fait valable.
Ma question : quels
moyens du XXI° siècle pour l’efficacité ?
Les panneaux ?
Les radars ?
La bonne volonté, la
persuasion, l’information, la répression… ?
Vous sentez bien qu’il
faut intégrer les limitations automatiques de vitesse dans les
véhicules !
Et rendre ces
limitations intelligentes !
Sans généralisation mais
adapté à la réalité du danger (participation collective ?).
L’idée fait son chemin !
Daniel Clerc |
Théo
VINTAER
Chargé de développement des
itinéraires cyclables
Départements et Régions Cyclables
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Conseil Départemental du Val d'Oise
Direction des
Routes
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Conseil Départemental du Val d'Oise
Direction des Routes
Bonjour,
Je fais suite à votre mail en date du 30-04-2018.
Nous avons bien reçu vos observations et vos suggestions relatives à
la sécurité routière.
Nous vous remercions de l'intérêt que vous portez à nos routes
départementales.
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Une contrainte au bon endroit n'a jamais gêné personne.
C'est la généralisation qui rend les déplacements stressants.
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Eric PIOLLE
Maire de Grenoble
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Seltana TATAH
Ville de Grenoble - Cabinet du Maire - 11 bd Jean Pain |
Mairie de Toulon
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L'avenir doit
être envisagé dans les
décisions actuelles.
En France, les solutions contraignantes
pénalisent tous les usagers.
Les responsables doivent donc prendre en
compte dès maintenant les futurs dispositifs dans les voitures qui
seront vraiment efficaces.
Ils ne doivent pas continuer dans
l'erreur.
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Mairie de Blois
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Monsieur,
Vous avez sollicité le Maire de Blois via le site internet de la ville,
au sujet des réflexions que vous avez engagées sur la thématique de la
sécurité routière, lesquelles ont été rassemblées dans le document
"Reportages" dont vous avez bien voulu nous fournir le lien d'accès.
Je tiens à vous remercier de cette initiative, et vous informe que
celles-ci seront étudiées dans le cadre des diverses actions que la
Ville de Blois est amenée à engager et suivre au quotidien sur cette
même thématique.
Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de ma considération
distinguée.
Dominique PENIN
Responsable du Pôle Relation à l'Usager - Dpt INFRASTRUCTURES
Communauté d'Agglomération de Blois - AGGLOPOLYS / Ville de Blois
1, rue
Honoré de Balzac - CS 4318 - 41043 BLOIS Cedex
tél :
02/54/90/30/88 - fax : 02/54/90/30/99
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Jean Luc MOUDENC
Maire de
Toulouse
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Mairie de Villeurbanne
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Bonjour,
Les pistes d’évolution que vous abordez me semblent relever davantage du
domaine de la loi et du règlement que de la compétence de monsieur le
maire.
En effet, ces dispositifs généraux doivent être prévus et imposés par
une législation spécifique, que les maires n’ont pas la possibilité de
modifier ou d’initier.
Vous avez donc judicieusement saisi la présidence de la République de
vos propositions.
De mon côté, j’en informe madame Pascale Crozon, députée de la sixième
circonscription du Rhône. Sa qualité de parlementaire peut lui permettre
de relayer avec plus d’efficacité vos suggestions au gouvernement.
Avec mes salutations les meilleures,
La direction relations habitants / services et événementiel - Cabinet du
maire
|
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29-11-2019
Bonjour Monsieur,
Notre action vise à sécuriser la
circulation des piétons et des bicyclettes face aux véhicules. Nos
aménagements sont réalisés dans cet esprit.
Cordialement.
François Cholley - Maire de
Villemoisson sur Orge - 91
|
La fin de la voiture reine est une bonne
chose !
Mais la priorité donnée aux piétons et
aux cyclistes doit elle justifier la généralisation des contraintes
archaïques ?
- Les piétons sont en sécurité sur les
trottoirs. L'instant sur la chaussée n'est même pas vraiment
protégé.
- Les cyclistes subissent les même
contraintes que les autres usagers !
C'est pour cela qu'il est "urgent" que
les limitations intelligentes et les dispositifs d'arrêts
automatiques soient intégrés dans les véhicules !
Rappel : dans les véhicules, il y a des
personnes...
Daniel CLERC |
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Comme vous le dites si bien :
« Au-delà du nombre qui peut (vous) paraître excessif »
Il y a
23 ralentisseurs sur la
route « chemin de la croix rouge » sur une distance de 1,6 km.
Vous aviez voulu une voie pour
les cyclistes. Je suis un cycliste et j’évite votre solution…
Si on se souciait des
automobilistes qui empruntent ce tronçon, tous les jours, pour aller au
travail ?
Juste sur cette route d’un
kilomètre six cents, à sens unique, cela fait 23 x 330 =
7590 ralentisseurs à passer par an.
Rue André Chermette, il y avait
4 ralentisseurs. Vous venez d'en rajouter 3. 7 ralentisseurs sur 600 m...
Les solutions, contre les
autres, à Longpont sur Orge
sont extrêmes.
Une sécurité illusoire et une non prise en compte de l'ensemble des
utilisateurs.
Daniel Clerc
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Saint Maurice Montcouronne
|
Bonjour Monsieur Clerc
Il n'y
a pas de bandes rugueuses sur la commune de Saint Maurice Montcouronne.
Nous
privilégions les dos d'âne et les chicanes pour assurer la sécurité des
habitants.
Cordialement
M.
Blanchard - Adjoint au Maire |
Assurer la
sécurité des habitants ?
Ce message révèle que les
responsables pensent bien faire...
Rappel :
Le concept "danger potentiel" est
inutile, injuste et nuisible.
Les aménagements contraignants sont très souvent
contraires à
la sécurité.
Les aménagements contraignants assurent-ils la
sécurité des habitants ?
Non !
Les ralentisseurs et les chicanes ne
servent qu'à imposer une limitation de vitesse.
Dans les rues désertes des villages de
l'Essonne, il n'y a pas de danger !
Les piétons sont en sécurité sur les
trottoirs !
Les très rares piétons engagés sur la
chaussée ne sont pas protégés par les aménagements.
Par contre, tous les usagers innocents
souffrent de cette généralisation.
Nous passons très très souvent à St Maurice
Montcouronne à vélo.
A Courson-Monteloup, la commune juste à
côté, il n'y a pas que les ralentisseurs.
Il y a des bandes rugueuses et également des véritables "murets" qui sont plus anciens et qui nous
obligent à "sauter" dessus.
Les cyclistes plus âgés ou moins agiles
heurtent leurs roues dessus.
Et pour nous c'est un enfer, à chaque fois,
à l'aller et au retour.
Daniel Clerc
Solutions
pour l'avenir et propositions
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(Téléphone)
Les habitants de Brétigny
sont très nombreux à réclamer des ralentisseurs.
Les responsables pensent à en
mettre encore davantage, surtout près des écoles.
Réponse :
Les responsables/décideurs doivent
avoir le recul de la réflexion face aux demandes pas toujours
raisonnées.
(Société en crise/angoissée)
|
Saint-Germain lès-Arpajon
|
Il y a la volonté des responsables de bien faire...
mais la plupart ne font pas de vélo !
Une seule contrainte n'a
que peu d'importance. Comme vous l'écrivez,
elle n'est pas particulièrement insurmontable.
Mais dans ce
cas précis, tous les cyclistes sont obligés de descendre de vélo,
d'actionner la barrière oscillante ou de passer sur les côtés...
...après être passé sur un pont qui est devenu invivable
sur toute sa longueur à cause de ces contraintes inutiles.
Pour les
poussettes, cela doit être la même pénibilité.
A part
l'esthétisme, pensez-vous qu'il y a un réel progrès dans ce nouvel
aménagement ?
Je vous invite à lire ces 3 pages :
Barrières
contraignantes
Supprimer les barrières ? Véhicules
motorisés ?
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Président de
l'Agglomération du Val d'Orge
Sénateur de l'Essonne 2017
|
M. Leonhardt écrit : … est la cause
d’un grand nombre d’accidents sur la zone urbaine.
Question : Avez-vous des
chiffres précis sur ce nombre ?
La réponse :
Cette phrase vise les accidents en zone
urbaine d’une manière générale et fait état du rôle de la vitesse
excessive dans ce cadre.
L'augmentation
du flux de circulation à Sainte Geneviève des Bois |
Olivier LEONHARDT - 2013
Communauté d'agglomération du Val
d'Orge (91)
|
Les mots employés "apaisement du flux automobile, circulations douces, itinéraires sûrs, confortables et conviviaux"
:
-> Il y a un décalage
entre les mots/intentions et les conséquences d'une partie de vos
réalisations :
les usagers ont, de plus en plus, l'impression de faire un parcours du combattant !
Vous écrivez que vous
devez essayer, au risque d'avoir à rechercher d'autres solutions :
-> Les ralentisseurs, ce
n'est pas nouveau ! Les aménagements mal pensés restent dans le temps et dans
l'espace.
La relation entre "le
syndrome du nid" (1) et la
solution des aménagements :
-> Les plateaux
surélevés, les ralentisseurs et les coussins ne sont en aucun cas
des anti-accidents. Ce sont des gênes, pas des aides à la vigilance.
Une gêne, quand elle est répétée
devient stress. Ce qui est grave, c'est que des
cyclistes chutent parfois à cause d'eux.
Daniel Clerc
(1) Sécurité routière :
Le risque d’accident est
plus élevé à proximité de chez soi.
75% des victimes de la
route sont des victimes locales, piétons ou occupants d’un véhicule
immatriculé dans le département. On constate aussi chaque jour un
pic de mortalité routière vers 18h à l’heure des trajets
domicile/travail. C’est donc sur les routes que l’on emprunte
quotidiennement que le risque routier est le plus élevé, l’habitude
entraînant une baisse de vigilance. |
Olivier LEONHARDT -
2013
Communauté d'agglomération du Val
d'Orge (91)
|
Le cas unique, l'accident,
ne doit pas conduire au stress pour tous les usagers.
Ce n'est pas sous la
pression de certaines individualités, même si on les comprend, que les
responsables doivent prendre les décisions.
C'est l'intérêt général qui
doit prédominer.
A cause de cas isolés, les
chauffards, c'est la punition générale : 4 plateaux qui vont rendre les
déplacements
encore plus fatiguant pour tout le monde et tout le temps.
Ces 4 plateaux sont d'une
efficacité très limitée : ralentissement sur quelques mètres et piéton
sur la chaussée pas vraiment protégé.
|
|
30/04/2018
J’accuse bonne réception de votre courriel du 23 mars dernier
relatif à la circulation rue Pierre Sémard.
Vous semblez trouver un accroissement des contraintes suite aux
nouveaux aménagements et vous nous demandez comment on a pu arriver
à un tel projet.
Ce projet est en effet issu d’une très large concertation avec les
deux établissements scolaires, les parents d’élèves élus, les
techniciens voirie Ville et Agglomérations et bien sûr les
riverains.
Des groupes de travail ont été constitués d’élèves pour pouvoir
répondre à 3 objectifs : créer un stationnement pour les bus, un
dépose minute pour les parents d’élèves et casser la vitesse aux
abords de l’école. Il en est ressorti un projet qui a été présenté
aux riverains et validé en réunion publique .
Il était en important de sécuriser cette zone qui chaque jour est
fréquenté par 1100 élèves école et collège.
Responsable administrative des services techniques - Ville de Sainte-Geneviève-des-Bois
|
Ma
question :
Des accidents récents ont-ils eu lieu devant l’école ou le
collège rue Pierre Sémard ?
Je pense que s’il y avait eu des accidents, le responsable m'aurait répondu tout de suite…
Tout ce que je peux dire c’est d'informer
de ma réflexion (en précisant que les soutiens, les prises en
compte, les remerciements, c’est toujours pour quelque chose)
1) Remettre
en cause le concept erroné du danger potentiel
2) Tenir
compte des conséquences sur tous les usagers de vos aménagements
A SGDB, grâce à son ancien maire, les usagers avaient
été préservés !
Je reviens de Breuillet, et là on assiste à une
prolifération des ralentisseurs…
Daniel Clerc - 21-05-2018 |
Des barrières contre les scooters
|
Olivier THOMAS
Maire de Marcoussis
Bonjour Monsieur
J'ai bien reçu votre message concernant les barrières sur nos liaisons
douces mais également aux entrées de Parc.
Vous me proposez de me mettre à la place des utilisateurs de vélo, cela
tombe bien, puisque je suis moi-même utilisateur de vélo sur ma commune.
Ces barrières n'étaient pas là à l'origine de ces liaisons douces ni aux
entrées des parcs. Elles ont été installées à la demande des riverains,
mais aussi des cyclistes afin d'éviter les scooters sur ces voies qui ne
leur sont pas réservées.
Dans un monde idéal, on n'aurait évidemment pas besoin de ces barrières,
mais hélas les utilisateurs de scooter ne respectent pas les
interdictions qui leur sont faites d'utiliser ces voies et d'entrer dans
les parcs.
Si d'aventure vous connaissez un moyen technique qui permettrait de
laisser passer les vélos plus simplement et de faire obstacle aux
scooters, nous en serions preneurs.
Marcoussis développe beaucoup les liaisons douces, nous en construisons
régulièrement et nous avons un schéma en squelette de poisson le long de
notre vallée dont l'arrête centrale est la voie le long de notre
rivière. Régulièrement nous créons des perpendiculaires à cette voie
afin d'irriguer tous les quartiers et il n'est pas de nouveau quartier
sans que nous pensions à ce sujet ainsi qu'aux parcs à vélos.
Par ailleurs nos équipements publics sont et seront équipés de parcs à
vélo.
Enfin nous allons créer avec l'agglomération une voie dédiée vélo
importante reliant un quartier excentré à notre centre village.
Merci de votre intérêt pour cette question, que je partage.
_____________________________________________
L’idée qui prédomine chez les responsables, c’est de rendre accessible
les lieux privilégiés que sont les bords de l’eau au plus grand nombre
de promeneurs et de cyclistes.
C’est ce qu’on constate dans les vallées de la Seine, de l’Orge et de
l’Yvette (qui sont gérées par des syndicats).
En multipliant les parcours et en les aménageant. Les parkings
également.
A part aux endroits très dangereux (escaliers par exemple), les
contraintes sont supprimées.
Sur les barrières qui empêchent l’accès aux voitures, il y a un panneau
collé qui indique l’interdiction aux véhicules motorisés.
(La notion de
motorisation doit évoluer avec l’arrivée des moteurs électriques...).
Sur les pistes, il y a parfois un scooter qui passe un instant de
seconde…
Dans certains parcs, il y en a également à certaines heures…
C’est vraiment si grave ?
Daniel Clerc
PS
Dans la vallée de la Salmouille, l'affluence est encore faible.
A Marcoussis, vous avez un château médiéval : il est caché par un mur et
il est interdit d'aller le voir !
|
Seine Rive Droite Melun -
Le Mée : des ralentisseurs très durs à revoir.
|
Franck Vernin
Maire
Le Mée
Cher Monsieur
Clerc .
Suite à votre
courriel concernant les ralentisseurs chemin des Praillons, vous me
voyez très surpris de votre remarque. En effet les cyclistes
demandent régulièrement des ralentisseurs pour apaiser la
circulation automobile.
28-11-2018
Une liaison douce est en cours de création le long du fleuve
(Agglomération Melun Val de Seine).
Elle permettra de se rendre, à pied ou à vélo, jusqu’au barrage de
Vives Eaux.
____________________________
Votre réponse : les
cyclistes demandent régulièrement des ralentisseurs pour apaiser la
circulation automobile.
-> Dans la réalité,
c’est la présence des cyclistes qui fait ralentir les voitures sur
ces petites routes.
Ce ne sont pas les
cyclistes qui réclament des aménagements contraignants ! Ils veulent
de la liberté !
En absence de
véhicule, les ralentisseurs qui ne protègent personne, sont donc
totalement inutiles !
Mais leur nocivité
est permanente.
Les bords de l’eau
sont des lieux privilégiés pour les humains. Les sportifs les
apprécient.
Chemin des Praillons,
il y a 4 véritables barres !!!
A chaque passage, les
cyclistes cognent leurs deux roues dessus et leur corps subi des
chocs à répétition qui gâche, d’une façon injuste, leur activité…
La généralisation des
aménagements archaïques a pour conséquence un stress permanent pour
les cyclistes… et tous les usagers innocents…
Daniel Clerc
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Réf. : 2013-856
Monsieur,
Vous avez bien voulu appeler notre attention sur les
conditions de mise en place sur les chaussées des
dispositifs favorisant la réduction de vitesse des
usagers.
Ce type d’aménagement est parfois réalisé pour rendre
effective la limitation de vitesse prescrite par l’autorité chargée de la police
de la circulation sur la voie concernée.
Le Département ne réalise sur ses routes départementales, ni
ralentisseurs, ni coussins berlinois, ni plateau surélevé en dehors des
agglomérations où ils sont proscrits.
En agglomération, le Département ne réalise ce type
d’aménagement qu’avec parcimonie lorsqu’il existe un vrai problème d’insécurité
routière. Dans la plupart des cas, il s’agit d’aménagements réalisés à
l’initiative des communes détentrices du pouvoir de police de la circulation.
Ces types d’aménagements permettent de sécuriser des
carrefours, mettre en place des zones 30, sécuriser des abords de lieux publics,
notamment ceux fréquentés par des enfants, et de manière générale de pacifier la
voirie.
Enfin, s’ils sont mis en place et réalisés conformément à la
réglementation et aux recommandations en vigueur, notamment si la visibilité sur
l’aménagement est assurée, l’expérience montre qu’ils ne sont pas dangereux pour
les usagers.
Je vous prie de croire, Monsieur, à l’expression de ma
meilleure considération.
Sébastien LE GAL
Chef du pôle sécurité routière et mobilités douces
BESR/SGER/DRT
Conseil général des Yvelines |
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Direction de l'ingénierie et des
infrastructures - 2015
Département du Loiret - 45945 Orléans
|
Monsieur,
Par courriel du 28 septembre dernier, vous
m'avez fait parvenir un état très détaillé de vos expériences de
déplacements et de vos réflexions sur les aménagements routiers en
milieu urbain.
Je vous informe que dans le département du
Loiret, les aménagements à l'intérieur des agglomérations sont réalisés
à l'initiative des maires des communes ou des présidents de communauté
de communes qui en décident la construction.
Cependant, pour les équipements mis en
œuvre par ces collectivités sur le réseau routier départemental, le
Département veille toujours à ce que ceux-ci soient réalisés dans le
strict respect de la législation en vigueur.
Par exemple dans le cas des aménagements
qui vous préoccupent, les rampants sont contrôlés et les implantations
proposées en sortie de virage ou en descente trop prononcée font l'objet
de préconisations pour une implantation vers un autre emplacement plus
sécurisé. De même, l'usage des contre stop sur les routes
départementales est régulièrement déconseillé.
Soyez assuré que le Département reste
vigilant pour que les aménagements réalisés sur les routes
départementales garantissent à tous de meilleures conditions de
circulation en sécurité.
Je vous prie d'agréer, Monsieur,
l'expression de ma considération distinguée.
Pascal LENOIR
Directeur de l'ingénierie et des
infrastructures
Département du Loiret - 45945 Orléans
02 38 25 45 45 -
www.loiret.fr
|
|
Monsieur Clerc,
Votre
message est passé entre les mains de plusieurs personnes avant de me
parvenir. Chacun d'entre nous se demandait comment mettre en valeur ce
site très original, multi-thématique, et très intéressant, que vous avez
conçu. Après réflexion, il nous semble que le meilleur endroit pour
faire connaître cette initiative, ce serait MAIF Social Club, ce site
qui fédère la communauté des sociétaires MAIF et leur permet d'échanger
entre eux. Et pas seulement des petites annonces de vente d'objets ou de
proposition de locations !
En qualité
de sociétaire, vous avez accès à cette communauté et vous pouvez ainsi
mettre en valeur chacune des thématiques que vous développez avec
passion et conviction. Vous verrez que cette plate-forme est le meilleur
endroit pour partager des initiatives entre sociétaires !
Avec nos
sentiments les plus mutualistes,
Eric
Berbudeau
|
Eric Berbudeau
MAIF MAGAZINE
Actions sociétales &
communication institutionnelle
Tél. : 05.49.73.88.98. |
|
|
Ref : NAD 000 D 2013 F 2363
Monsieur,
C’est avec intérêt que nous avons pris
connaissance de votre courrier, dans lequel vous nous
faites part de vos réflexions concernant l’utilité des
ralentisseurs.
L’Automobile Club Association ne peut que
souligner l’importance du respect des normes techniques
relatives à ces installations ( hauteur, angle
d’attaque,…), ceci pour des raisons tenant tant à la
sécurité des usagers qu’à l’impact potentiel sur les
véhicules. Hors de cette problématique, l’utilisation de
ralentisseurs semble une mesure efficace permettant de
sécuriser certains lieux en obligeant les véhicules à ne
pas laisser leur vitesse augmenter, notamment lors de
longues lignes droites, ou à ralentir aux abords de
passages à risques (par exemple à hauteur d’école). La
protection des piétons découle de l’obligation faite aux
automobilistes de réduire leur vitesse.
Si l’Automobile Club s’engage notamment
afin de responsabiliser les automobilistes, par
l’organisation de formations, de stages, et plus
généralement par l’importance que nous accordons à la
prévention, l’expérience démontre que la sécurité
routière ne peut malheureusement reposer sur ces seules
notions.
Nous vous remercions de votre confiance,
et restons bien sûr à votre disposition, afin de relayer
toute question, ou observation, concernant les
dispositions légales ou règlementaires régissant le
domaine de l’automobile, et de la mobilité en général.
Recevez, Monsieur, nos salutations
distinguées.
André FLAMMANG AUTOMOBILE CLUB ASSOCIATION
Service Juridique |
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Anecdote non vérifiée, mais
très révélatrice...
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FUB - Fédération
française des Usagers de la Bicyclette
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Bonjour,
Je vous remercie pour le partage de vos réflexions dont nous ne manquons
pas de prendre bonne note.
Bien cordialement,
Perrine BURNER
Chargée de communication
Tél : 03 88 76 70 86
|
|
Bonjour Monsieur Clerc,
J'ai pris connaissance de votre message concernant
l'aménagement du parking de Décathlon de Brétigny sur Orge, qui a été
réalisé ces derniers mois.
Nous avons pris grand soin de réaliser un parking
qui respecte les normes actuelles et plus particulièrement pour les
personnes à mobilité réduite.
Ainsi les ralentisseurs "15" ont été placés de part
et d'autre du passage piéton afin de protéger ceux-ci.
Votre remarque est pertinente et nous devons la
prendre en compte sur nos aménagements actuels et futurs, afin
d'améliorer le confort de tous les usagers qui viennent dans nos
magasins.
Responsable Construction
Régional
Ma question : sur les parkings,
les clients vont-ils foncer sur les piétons ?
|
Cour des comptes
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Bonjour, Nous vous remercions de la confiance que
vous placez dans les juridictions financières.
Nous avons pris bonne note de vos remarques que nous
n’avons pas manqué de transmettre aux magistrats concernés.
Cordialement,
Cour
des comptes
Direction de la communication
13, rue Cambon - 75001 Paris
www.ccomptes.fr
Tweet @Courdescomptes
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PARIS-SACLAY
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Bonjour,
Je vous remercie de l’intérêt que vous
portez aux aménagements cyclables de notre territoire.
Les services de la Communauté Paris-Saclay
mettent tout en œuvre pour développer le maillage des aménagements
cyclables, que ceux-ci soient cohérents, et que l’espace public soit
partagé entre tous les utilisateurs, et ils sont nombreux.
Nous avons bien pris note de votre
signalement, et échangeons actuellement avec les services de la
commune, mais vous pouvez comprendre que les interventions de cette
importance ne peuvent être lancées sans un minimum de réflexion et
être réalisées en quelques semaines.
Pour votre information, nous échangeons
également régulièrement avec les associations cyclables du secteur,
ce qui nous permet d’avoir la vision des usagers (que nous sommes
aussi).
Pour plus d’efficacité, je vous invite
donc à vous rapprocher d’eux afin de leur faire profiter de vos
réflexions.
Bien cordialement,
Rémi TARDY
Directeur de l’Espace Public
Direction Générale Aménagement des Territoires et Cadre de Vie
paris-saclay
|
Si on ne prend en compte que le facteur
« limitation de la vitesse »,
la logique de mettre des ralentisseurs
partout devient obligatoire.
Les responsables peuvent écrire
« sécurité » mais pour les usagers, c’est le stress au quotidien.
C'est très grave.
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